Moi aussi, je m'inscris !
Linard BardillAuteur-compositeur |
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Nik BärtschPianiste et compositeur |
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Michel BühlerChanteur et écrivain « A chaque fois qu’une nouvelle machine apparaît, elle fait le travail de quelques hommes, et les remplace. J’ai toujours pensé que les profits engendrés par les machines devaient être partagés (une fois déduit le coût de la machine, bien sûr) entre les hommes qu’elle a remplacés, et non pas être accaparés par quelques actionnaires. » |
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Florian CandelieriArchéologue de formation, CEO et Co-Fondateur de la plateforme de location entre particuliers www.e-syrent.ch « Le revenu de base nous permettra d'initier les changements dont notre société a besoin. » |
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Sandro CattacinDocteur en Sciences sociales et politiques, Professeur à la Faculté de sociologie d'UNIGE, ancien Directeur du Forum suisse pour l'étude des migrations et de la population « Un revenu de base pour un plus de dignité dans notre société. » |
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Mireille CifaliHistorienne, psychanalyste, Professeur honoraire Université de Genève / FAPSE |
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Pierre DominicéProfesseur honoraire Université de Genève / FAPSE « Je soutiens l'initiative car elle propose une alternative à une situation critique du rapport au travail, surtout des jeunes, mais aussi des aînés. Le travail occupe trop de place dans l'horaire de beaucoup, de parents notamment. Il entraîne une souffrance exagérée. Pour ceux qui n'en trouveront quasiment jamais, les démarches d'assistance sont souvent infantilisantes ou humiliantes. Dernier point, il y a parmi les jeunes de plus en plus d'artistes empêchés de se consacrer à leur art car ils ont l'obligation d'un gagne-pain qui leur prend un temps considérable. L'initiative ouvrira un débat nécessaire car les solutions exacts de salaire de base sont encore à affiner. » |
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Bridget DommenSocioéconomiste « le revenu de base résoudra les problèmes actuels que connaissent nos assurances sociales. » |
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Edouard DommenÉconomiste « Libérer le travail pour une économie plus diverse et créative. » |
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Julien DubouchetSecrétaire associatif, ancien syndicaliste (SIT), politologue et juriste. « Le RBI est la meilleure manière de mettre en oeuvre le droit constitutionnel de chacun d'obtenir les ressources nécessaires à une vie décente. Non bureaucratique, le RBI est susceptible de libérer enfin les individus de l'angoisse matérielle au quotidien, et augmenter par là le potentiel social. » |
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Arnaud DurandPrésident des Jeunes démocrates-chrétiens vaudois |
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Esther EppsteinArtiste et galeriste |
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Adrien FaurePrésident de la Jeunesse socialiste genevoise « Je soutiens l'initiative pour un revenu de base pour que les jeunes soient autonomes. » |
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Judith Giovanelli-BlocherAuteure et professionnelle du service social |
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Isabelle GuisanChroniqueuse et écrivain |
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Ingrid GraveSœur religieuse |
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Martin GrobEntrepreneur social |
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Martin HellerDirecteur artistique Expo 02 |
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Pierre HeroldPasteur retraité, ancien Président de BIEN-Suisse « Je suis convaincu que le revenu de base constitue un des moyens majeurs – parmi d’autres – de lutte contre la pauvreté, et de promotion d'une meilleure répartition des biens et de la richesse que la société génère. » |
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Jürg JeggePédagogue et auteur |
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Christine LeyEcrivain, journaliste, Organisatrice des Cafés-Déclic |
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Raphaël MahaimDéputé au Grand Conseil VD « Parce que nous voulons un monde guidé par d'autres objectifs que l'argent et parce que nous croyons que chaque activité humaine a de la valeur, il faut urgemment faire le pas vers un nouveau modèle économique. » |
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Christian MarazziEconomiste, Professeur PhD à la SUPSI/DSAS (Haute Ecole spécialisée de la Suisse Italienne/sciences économiques et sociales) « La revendication d'un revenu de base est une lutte pour une autre citoyenneté qui respecte le droit à l'inclusion, ceci dans une économie qui précarise et exclut. » |
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Serge MargelPhilosophe écrivain, chercheur au FNSRS (Fonds National Suisse de la Recherche Scientifique). « Le revenu de base est une transformation sociale sans précédent, qui donne à tous un droit inconditionnel sur sa propre vie et demande à chacun une responsabilité illimitée envers la société. » |
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Christoph MarthalerMetteur en scène de théâtre et d'opéra |
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Katrin MuffDocteur et MBA (Master of Business Administration), Doyenne de BSL (Business School Lausanne), ex-Directrice d'une division de Procter & Gamble |
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Adolf MuschgÉcrivain |
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Madeleine PontFondatrice et présidente du GRAAP-Association « Le concept de ce revenu de base pour tous m'a enthousiasmé : il permet de faire un grand pas dans le sens de la non discrimination entre jeunes et vieux, bien-portants et invalides ou handicapés. C'est une réelle révolution au niveau de la mentalité. Au même titre, probablement, que l'introduction de l'AVS. Penser une société en fonction des plus fragiles de ses membres est profitable pour tous. » |
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Laurent RebeaudJournaliste, Conseiller communal à Lausanne, membres fondateur du Parti des Verts suisses, ancien conseiller national « L’idée du RBI n’appartient pas à la gauche ou à la droite. Elle a été soutenue aussi bien par Karl Marx («à chacun selon ses besoins») que par l’ultralibéral Milton Friedmann (impôt négatif). Elle a un aspect social, puisqu’elle vise à éradiquer la pauvreté. Elle a aussi un aspect libéral, car elle vise à accroître l’autonomie et la responsabilité des personnes, à stimuler l’emploi et à réduire la bureaucratie étatique. L’autonomie des personnes est centrale. Le RBI n’est pas un salaire, ni de l’aide sociale, mais une allocation automatique. Il permet à chaque individu de choisir les activités pour lesquelles il se sent le plus doué et le plus motivé, indépendamment du salaire. Il permet aussi à la société de valoriser, de manière forfaitaire, les prestations bénévoles offertes par les militants des associations à but idéal, par les proches aidants ou par les femmes (et parfois les hommes) qui sacrifient tout ou partie de leur carrière professionnelle à l’éducation de leurs enfants. » |
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Kurt RegotzPrésident du syndicat Syna |
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Gilbert RistProfesseur honoraire de l'Institut de hautes études internationales et du développement (ex-IUED), Genève « L'institution d'un revenu de base inconditionnel constitue une mesure importante pour permettre à la société de sortir de l'idéologie productiviste et pour faire advenir une forme d'abondance frugale à laquelle l'épuisement des ressources naturelles nous contraindra nécessairement. » |
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Martino RossiÉconomiste, ancien directeur de la division de l’action sociale et de la famille, conseiller communal à Lugano « Revenu de base: utopie réalisable du XXI siècle. » |
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Alexis RousselPrésident du Parti Pirate Suisse « Le revenu de base donnera l’opportunité à l’autre de créer de la valeur. La contribution libre est une vraie valeur économique même si l’on est incapable de la mesurer. » |
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Giselle RuferEntrepreneuse |
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Gudrun SanderDr. en sc. économiques et Vice-directrice de l'Executive School of Management, Technology and Law, Université de Saint-Gall |
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Guy SansonnensPoète et chanteur |
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Peter SchmidPrésident de la HES de la Suisse du Nord-Ouest |
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Ruth SchweikertÉcrivain |
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Guy-Olivier SegondAncien Président du Conseil d'Etat de Genève « L'initiative populaire sur le revenu de base inconditionnel fait sourire dans de nombreux milieux : pour une grande majorité, c’est l’exemple même d’une utopie intellectuelle. Il ne faut cependant pas sous-estimer l’importance du débat public qui va s’ouvrir : c’est l’occasion de simplifier radicalement un Etat social devenu tellement complexe qu’il est, tout à la fois, pléthorique et insuffisant. » |
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Nenad StojanovicPolitologue, Universität Zürich & Université de Lausanne « Le revenu de base est un droit. C'est un instrument qui nous permet de nous approcher des idéaux de la liberté et de l'égalité. C'est un espoir. » |
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Béatrice TschanzExperte en communication |
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Peter UlrichProfesseur honoraire Université de Saint-Gall |
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Theo WehnerProfesseur EPF de Zurich, Directeur du centre pour les sciences de l’organisation et du travail |
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Pierluigi ZanchiConseiller communal à Lugano, Patron d'une entreprise artisanale de produits bio « J'adhère à l'Initiative pour un revenu de base inconditionnel, parce que la situation économique, sociale et environnementale a changé en profondeur. Il n'est plus possible de continuer avec les solutions d'il y a 40 ans. Nous devons établir d'autres paramètres pour la production et la jouissance des biens (pas seulement de consommation), ainsi que pour les assurances sociales et pour le système du travail et du temps libre. En outre, en tant qu'employeur, je trouve que le système actuel de la gestion des salaires, avec toutes retenues et prestations qui y sont liées est à la fois compliqué et coûteux. Quant au problème du travail au noir, il se réduirait de façon drastique avec un système basé sur le revenu de base inconditionnel, ce qui bénéficierait à l'Etat comme aux citoyens. Cela apporterait aussi une solution à l'écart dans les rémunérations entre celui ou celle qui a un travail salarié et celui ou celle qui s'engage dans la gestion de la vie familiale et dans des activités bénévoles mais ne gagne rien. Ces milliers de personnes qui s'occupent de la famille et des associations apportent une contribution des plus importantes pour le bien-être de la société. Tout ceci ne peut pas être quantifié dans notre PIB actuel, mais sans ces personnes, notre société civile ne pourrait pas exister. » |
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Josef ZisyadisThéologien et ancien député au Parlement suisse (1991-2011) « Le revenu de base sera la nouvelle conquête à inscrire aux droits universels de l’homme ! » |