Et si on considère l'état actuel des choses comme le taux de suicide des jeunes, celui des personnes âgées qui augmente à l'arrivée de la retraite, ceux des employés mis sous pression par les entreprises, les coûts explosifs liés aux situations de stress et de burn-out chez les employés comme chez les cadres et le manque de personnel soignant en suisse. Ce système engendrerai un niveau de Bonheur National Brut incroyable. Les parents auraient plus de temps pour leurs enfants, ce qui renforcerait les liens, l'intelligence émotionnelle et les rapports entre générations. Pareil pour les personnes âgées. Les personnes marginalisées s'engageraient plus qu'on ne le pense et qu'ils ne le font actuellement mais par choix, envie et convictions plutôt que par obligations frustrantes. Ce qui ferrait certainement baisser aussi le taux de criminalité de personnes blasées, frustrée par le monde du travail et marginalisées, qui engendre solitude, mise à l'écart des pairs et passages à l'acte. De plus, la diminution de ces frustrations ferrait également baisser le taux de toxicomanes, alcoolique et (moins profitable pour d'autres), la consommation de médicaments.
Bref, le nombre de bienfaits d'un tel système est inimaginable, il serait idiot de ne pas essayer.
Bonjour,
Et si on considère l'état actuel des choses comme le taux de suicide des jeunes, celui des personnes âgées qui augmente à l'arrivée de la retraite, ceux des employés mis sous pression par les entreprises, les coûts explosifs liés aux situations de stress et de burn-out chez les employés comme chez les cadres et le manque de personnel soignant en suisse. Ce système engendrerai un niveau de Bonheur National Brut incroyable. Les parents auraient plus de temps pour leurs enfants, ce qui renforcerait les liens, l'intelligence émotionnelle et les rapports entre générations. Pareil pour les personnes âgées. Les personnes marginalisées s'engageraient plus qu'on ne le pense et qu'ils ne le font actuellement mais par choix, envie et convictions plutôt que par obligations frustrantes. Ce qui ferrait certainement baisser aussi le taux de criminalité de personnes blasées, frustrée par le monde du travail et marginalisées, qui engendre solitude, mise à l'écart des pairs et passages à l'acte. De plus, la diminution de ces frustrations ferrait également baisser le taux de toxicomanes, alcoolique et (moins profitable pour d'autres), la consommation de médicaments.
Bref, le nombre de bienfaits d'un tel système est inimaginable, il serait idiot de ne pas essayer.